Alain Brunet tente d'expliquer ce phénomène avec prose sur son blogue :
«Une couche importante d’amateurs s’inscrivent en faux contre le fouillis de la musique numérisée et la piètre qualité de ses produits de masse, je parle de ces MP3, format compressés qu’ils s’accompagnent d’une déperdition de l’intelligibilité musicale. Peu conscients (et confiants) des avancées technologiques dans le domaine, encore attachés à l’objet, d’aucuns reviennent au vinyle. Inutile d’ajouter que le phénomène s’accompagne d’un rejet progressif du CD.»
Je ne suis pas un acheteur de disques vinyles et, à l'opposé, je n'ai pas encore plongé pleinement dans l'aire du téléchargement numérique illégal ni même légal. Le CD demeure mon support musical préféré à ce jour.
Mais je ne peux m'empêcher, à la lecture de cet article, de replonger dans certains souvenirs de mon adolescence et de mes écoutes sur ce support merveilleux. Aujourd'hui, il y a bien 2 ou 3 personnes qui me disent que je suis une vraie encyclopédie musicale. Je conteste un peu, mais il y a une petite part de vérité et cela est dû à ma mémoire et mes lectures interminables des «credits» sur les pochettes de disques vinyles.
En vrac, voici quelques-uns de mes souvenirs du disque vinyle :
- Mon premier vinyle : Kiss - Dynasty
- Mon premier vinyle acheté avec mon argent de poche : U2 - The Unforgettable Fire
- Mon vinyle le plus usé : Genesis - Invisible Touch
- Ma pochette préférée (de l'époque) : Asia - Asia
- Mon vinyle le plus chéri : Jethro Tull - Thick as a Brick
- Mon vinyle le plus cher (à cause d'un défaut de la pochette) : Yes - Yessongs
- Mon dernier vinyle (snif) : Tears for Fears - The Seeds of Love
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